Olivia Wheeler
≈ messages : 35 ≈ inscription : 11/07/2013 ≈ âge : 25 ans ≈ statut civil : Mariée pour la seconde fois
| Sujet: (M) JENSEN ACKLES ~ I can resist everything except you Ven 12 Juil - 1:04 | |
| citation citation © crédit/fuckyeahjensenackles tumblr.tumblr
i. we don't even have to try . idée(s) de nom ~ écrire ici. idée(s) de prénom ~ écrire ici. tranche d'âge ~ entre 26 et 31 ans lieu de naissance ~ écrire ici. nationalité et origines ~ écrire ici. idée(s) de métier ~ Reporter puis il a pu changer de métier. statut matrimoniale ~ Divorcé, célibataire statut monétaire ~ Aisé, je l'imagine bien issu d'une famille riche. groupe~ écrire ici. avatar~ Jensen Ackles, j'avais aussi pensé à Jamie Dornan
~ Il est un riche hériter mais n'a jamais pris la grosse tête, il est vite parti de la maison familiale de peur que ses parents dirigent trop sa vie ~ il est parti au Kenya pour y prendre des photos et y a rencontré Olivia. Suite à quelques mois de relation, ils sont partis se marier et s'installer aux Etats-Unis ~ Les parents d'Ethan étaient contre cette union, ils auraient souhaité une femme de la haute et les parents d'Olivia trouvaient que leur fille était bien trop jeune pour se marier. ~ Olivia a demandé le divorce car il la négligeait trop, elle était la seule à faire des efforts et lui a signé. Ils ont divorcé alors qu'ils s'aimaient encore. ~ Ethan a sombré dans l'alcoolisme, il a enchainé les relations sans lendemain puis au bout de deux ans, il a décidé de reconquérir son ex-femme seulement elle a refait sa vie et a même un fils aujourd'hui. ~ Il est prêt à tout pour reconquérir sa femme et parvient même à la déstabiliser au point qu'elle tombe dans ses filets, trompant son actuel mari. ~ Il est sarcastique, imprévisible, impulsif, macho sur les bords, drôle, déterminé, impatient, badboy, séducteur
ii. when you're ready come and get it
- Spoiler:
« « Dégage, dégage. J'en ai ras l'bol de supporter tes déplacements intempestifs. J'en ai marre de jouer les ornements. La femme qui prend la poussière quand tu n'as pas d'temps à lui consacrer. » Je me ruais sur elle, emboitant ses pas, humant ce parfum qui me rendait dépendant. De quoi est-ce qu'elle causait ? Quoi ? Ma main s'agrippait à son bras, l'obligeant à se retourner. Ses yeux humides, me tailladaient la peau. Je ne faisais rien de mal, je n'avais que mon coeur pour l'aimer, que demandait-elle de plus ? J'aurai tué pour elle, décroché la lune : « T'sais quoi ? D'accord, je pars, je me tire. T'as qu'à demander à ta mère de te dégoter un avocat, elle se fera un plaisir de le faire.» Je claquai cette porte, énervé, priant néanmoins qu'elle reprenne ses esprits. Mes prières ne furent pas exaucées. Le papier est arrivé, j'y ais apposé ma signature. Consentement obtenu, elle s'est faite la malle. Papillon éphémère dans le livre de ma vie. Je suis trente six pieds dessous. Je me suis réfugié dans l'alcool pour oublier mais comment oublier l'inoubliable ? Pas de recette. Après deux ans d'errance, j'ai décidé de la retrouver. J'ai déménagé à New York et je me suis débrouillé pour la revoir. Elle était plantée comme un piquet de l'autre côté du bureau où elle est employée. Elle se lève, écarquille les yeux. Amour de ma vie, tu m'as tellement manqué. La bouche, les lèvres serrées, les prunelles parlent à ma place. Ils lui crient combien j'aimerai l'embrasser, la reprendre. Reviens-moi, reprends-moi. Je t'aime, j'creverai sur le pas de ta porte, sérieux.
Elle sort, me rejoint. Hallucinée. Furieuse ? Paumée ? Elle se contente de me fixer, croise les bras sur sa poitrine et se décide à bouger ses lèvres : « Ethan». Ses paupières plissées confèrent à son visage un petit brin ténébreux. J'aimerai annexer la moindre parcelle de peau, la moindre, je dis. Un sourire prend place sur mon visage alors qu'elle durcit ses traits. Joie non partagée, retrouvailles quasi ratées. « Sérieusement ? J'veux dire, t'as fumé quelque chose, t'as des hallucinations ? Ca t'étonne autant de me voir à New York ?». Elle fronce les sourcils, effarée. Elle retrousse ses lèvres, son nez : mauvais signe. « Qu'est-ce que tu fiches ici ? » Elle se la joue riche, je le vois à la parure qui orne son cou, au diamant ostentatoire sous lequel plit son annulaire. Je lève les yeux sur elle, ça m'fait crever, gerber. Elle appartient à un autre, je veux quand même l'entendre de sa bouche. « On m'a offert un job, une opportunité de m'installer définitivement. Je pense que la stabilité va m'aider », « Pardon ? T'installer ? Tu n'as pas le droit.» Un rire s'échappe, elle me rend nerveux et cette réplique, elle m'a fait mal. Pourquoi ? «Je serai curieux de savoir pourquoi je n'ai pas le droit de m'installer ici, tu as du temps devant toi ? J'aimerai entendre tes arguments autour d'un déjeuner.» Devant la réticence qu'elle montre, criarde comme une menace, je rectifie : « Ou un café, voyons Ollie, tu ne vas quand même pas me refuser ça, après deux ans ? ». Ses yeux dardent sur moi des éclairs de reproches, deux ans, je sais mon amour, c'est long. C'est long, j'espère t'avoir manqué.Elle accepte à contre coeur. Et j'ai le regret de la voir s'éloigner et revenir avec son attirail de Jet setteuse. Assistante sociale ? Elle aide qui en s'habillant de façon si couteuse ? Elle attire le regard, les envieux, les haineux. J'AI la haine, la haine de voir qu'elle s'en est sortie , sans moi. J'aurai préféré la retrouver recroquevillée dans une ruelle, sans toit. J'aurai aimé qu'elle ait vu son monde s'écrouler, sans moi. Moi, moi, je n'ai plus que mes yeux, pour l'aimer.
On s'installe à la terrasse d'un café, elle reste renfrognée. Elle m'en veut encore, je la savais rancunière mais, pas à ce point. Le mal est fait, tournons la page, déchirons là. Non, j'ai mieux : déchire celle que tu as avec ton bussinessman et partons, repartons au Kenya, en Nouvelle Calédonie, en Italie, revivons ces noces qui nous avaient rendu dingues. « Ca ne vas pas, Olivia ? Je te sens ailleurs. » Ses iris se plantent dans les miennes, violant mon âme. « Evidemment, tu débarques comme une fleur, m'invite à déjeuner et...tu t'attendais à quoi Ethan ?». Je tilt, j'adore lorsqu'elle prononce mon prénom de sa douce voix. « Ecoute, je ne suis pas là pour rabâcher ce qui a était dit ou même fait, deux ans plus tôt. Nous ne sommes que deux anciennes connaissances qui boivent un verre, comme au bon vieux temps. Pas de quoi sortir les lames, on est adultes n'est-ce pas ? » Ses épaules s'affaissent, elle baisse les gardes. Elle cherche quoi ? A ce que j'avoue ? Oublie. Je me penche, ses yeux se rivent sur mon cou. Je baisse le regard et remarque, la chaine que je porte, la sienne. Une sainte vierge, protectrice des voyageurs. Ma main s'accroche au pendentif, cachant se dernier sous le t-shirt, là où il était avant de vouloir prendre l'air : «Tu veux que je te le rende ?» lançais-je soudain mal à l'aise « Nan, tu peux le garder.» « Tant mieux parce que j'essayais juste d'être formel, je ne te l'aurai jamais rendu.» Ma franchise, elle l'aimait. Elle l'adorait, en redemandait.« Si tu souffres de ma présence, ne te gêne pas pour me le dire. Ca ne t'engage à rien, d'être là, de me faire la conversation. Les années ont passé mais, tu es toujours la même : frigide. J'espère que ton nouveau mari a reçu l'mode d'emploi parce qu'il va vite déchanter. » Un partout. « Tu me reproches d'avoir refait ma vie ? » elle crache, elle veut savoir. Savoir quoi ? « Je te reproche d'être comme tu es. Incapable de pardonner. Tu cours après un idéal qui n'existe pas. Ton idéal, il est pas sur terre. Tu rêves d'un impossible alors que tu pourrais vivre dans le possible. Il est comment ? Est-ce que au moins, il est patient ? Est-ce qu'il est présent ? Il fait quoi dans la vie ?». Elle peine à répondre, elle se confond en excuse, elle se relève prête à s'barrer, une fâcheuse habitude. « Okay, je suis allé trop loin. Trop loin pour te vouloir plus près. Reconnais au moins que tu n'as pas été agréable depuis que nous nous sommes installés à cette terrasse. » Même schéma, moi courant derrière elle, elle faisant volte face. « Ca allait très bien jusqu'à ce que tu te ramène. Tu joues à quoi au juste ? Reste loin de moi, c'est là que je te veux.»
Et puis, le monde est petit, au centre commercial, je suis dévalisé, meurtri. Dans ces bras ce petit garçon, à en juger, il doit avoir dans les 1 an. Moi, qui aurait aimé avoir une descendance. Elle, qui me le refusait. Chantage affectif qu'elle objectait à coup de " tant que tu n'auras pas décidé d'arrêter de voyager constamment ". J'ai aussi appris, que son mari, était un géant automobile. Le genre : jamais là, elle les attire. Les poches pleines d'argent. Le destin nous réunit même aux endroits les plus improbables, elle, dans mon immeuble, il y a un soucis, un dessin, un voeu qui commence à prendre forme ? Je descends les escaliers alors qu'elle les monte : « Je rêve, sérieusement, je te vois partout.» Son dos bute contre le mur, elle a peut être besoin d'un soutien « Ne me dis pas que tu avais affaire, ici.» Un sourire -malgré moi, malgré elle - se dessine insidieusement sur mes lèvres : « Je crèche dans un appart', trois étages plus hauts, figure-toi.» Je lance, peu amène et entreprend de continuer ma course mais, cette fois-ci, le schéma s'inverse, c'est elle, derrière moi. Elle qui agrippe mon bras, elle qui veut des explications. Je t'en donne ma belle, je me donne à toi, entièrement, s'il le faut. « Tu me fais marcher ? » « A ton avis ?». Mes yeux se perdent en elle, la scindent, l'ensorcellent. Instinctivement, sa main vient arranger le col de ma chemise, comme avant. Ce geste, l'ancienne elle, là, avec l'ancien moi. Alors quoi ? Alors quoi ? Je la veux mienne, pas sienne. Merde. Merde, ça m'fait hurler. Je n'ai jamais pu lui mentir. Pulsion violente, je m'empare de ses lèvres, je me presse contre ce corps qui longtemps m'a fait rêvé. Je plaque cette main qui me démange sur sa nuque l'approchant davantage de moi. J'ai besoin de cette putain de dose qui m'rend complétement autre. Fiévreux. Je me fraye un chemin jusque son fessier alors que ses mains explorent la peau cachée par la chemise que je porte. Ces galbes, horrifiée elle s'éloigne. Rompant le lien, encore une fois. « Saloperie » crache-t-elle, me pointant du doigt. Je le sens, maintenant. « T'en profite, imbécile. Je t'ai dit de ne pas t'approcher de moi.» Et alors quoi ? « Tu vas me frapper ? ». Elle rebrousse chemin, peu fière d'elle, balançant : « Je suis mariée, maintenant. Je suis fidèle et tu le sais » « Je m'en branle, Ollie. T'en que tu m'es fidèle, c'est tout ce qui m'importe.»
Dernièrement ils se sont recroisés et elle lui a cédé. Une autre fois elle l'a envoyé baladé avant de l'appeler quelques jours plus tard. Cercle vicieux ?
~♢~
Dernière édition par Olivia Wheeler le Ven 12 Juil - 15:47, édité 8 fois |
|