to crack

darcy payton
we belong to nobody, and nobody belongs to us. we don't even belong to each other.
© crédits/ben-barness.tumblr

i. never trust or love a wild thing.

NOM ~ Payton, tout simplement. PRÉNOM ~ Darcy, évoquant presque irrémédiablement le séduisant personnage de Pride and Prejudice. il le vit bien, Mr. Darcy est loin de lui déplaire. ÂGE ~ vingt-huit ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ~ un trente janvier à Manchester, Angleterre. NATIONALITÉ ~ anglaise et, plus récemment, américaine. MÉTIER ~ critique de films de formation, mais par manque de job en cette période, il est plutôt traducteur, officieusement. STATUT CIVIL ~ l'image même du célibat. STATUT MONÉTAIRE ~ plutôt modeste, il ne dépense pas énormément de toute façon. GROUPE~ east hampton.

~ il est un cinéphile assuré, ce qui l'a poussé à se former comme critique. en revanche, il n'a que rarement eu le cran d'énoncer un avis franc, se limitant à des avis équilibrés, ce qui l'empêche de percer dans le métier. du coup, il s'est rabattu sur la traduction, maîtrisant aisément le français. il traduit donc beaucoup de grandes classiques comme de petites oeuvres, et est un lecteur amoureux de la littérature française, ne serait-ce que parce qu'il ne lit pratiquement qu'en français.
~ il n'a jamais été le fauteur de trouble par excellence, plutôt un garçon visiblement simple. malgré sa nature calme et mature, il lui arrive lors de rares moments de complètement sortir de ses gonds. sans être considéré comme un nounours, le voir pris de violence est tout de même assez impressionnant.
~ ses parents sont décédés il y a quatre ans dans un accident tragique, causant la séparation de darcy et sa soeur cadette. sans attaches particulière l'un envers l'autre, ils ont simplement pris des chemins différents sans pour autant couper les ponts. lui s'est installé à los angeles, tandis que sa soeur fuyait aussi pour les états-unis, aux hamptons, où elle voulait se tailler une place dans le monde de la presse mode.
~ il ne sait pas danser, et essaie la plupart du temps de s'en abstenir. pour une partie de rires, il ne se prive pas, mais son incapacité (du moins, c'est son jugement) le retient de se rendre en boîte seul. eh oui, il se fait grégaire dans les bars.
~ il a eu peu de relations, et encore moins de sérieuses. ce n'est pas que les occasions lui manquent, au vu de l'intérêt qu'on lui porte presque tous les jours, mais il lui paraît inconcevable d'avoir une relation sans sentiments, et il fait belle lurette qu'il n'en a pas ressenti pour qui que ce soit. il ne se considère pas comme handicapé des sentiments pour autant, cela dit, et il lui arrive comme tout le monde d'avoir des relations charnelles. de ce côté-là, il n'a pas de problème...

iii. cause we're ready for the fame.

pseudo/prénom: padfoot / laura. âge: seize ans. pays: canada. to crack 3569513798

comment avez-vous trouvé le forum: sur bazzart. avatar: ben fucking barnes. to crack 3539114692

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. autre/cassdédi: tu feules ou tu rugis ? to crack 3115490062

that summer day won't fade away

Dans la pièce blanche, une forme délicate découpée sous les draps, ses cheveux sombres étalés sur l'oreiller comme si elle était tranquillement installée dans son lit, chez elle. Comme dans une scène de film, lui, l'observant de derrière la porte, osant à peine la regarder. Elle avait à la fois l'air paisible, et l'allure lointaine d'une morte. Ses lèvres roses encore entrouvertes, sa respiration était aussi légère et discrète qu'un souffle de vent derrière la fenêtre. Il ressortit s'asseoir sur une chaise dans le couloir. Attendre qu'elle se réveille. Tâche tendue et difficile, mais il osait à peine imaginer la difficulté de la suite. De quoi allait-elle se souvenir ? Dans son attente, il s'endormit, la tête contre le mur, sur un soupir.
« Je... vous connais ? » Assise, toujours recouverte du drap immaculé, une chemise d'hôpital tombant en un pli sur sa poitrine, elle le regarde d'un air hésitant. Farouche face à l'inconnu, une lueur de volonté luit dans ses prunelles, une détermination à se souvenir. Le trouble l'envahit, lui, il la reconnaît par trop bien, même après ces quelques années d'éloignement, dans un seul regard. « Je te connais, en tout cas. » Elle a l'air plutôt satisfaite de la réponse et ouvre la bouche pour poser une nouvelle question, avant de se raviser. Elle tourne la tête vers l'infirmière pour lui demander un verre d'eau, mais son regard ne le quitte qu'un seconde à peine. Elle a les sourcils légèrement froncés, le nez un peu plissé, mais ses lèvres ne démontrent aucune hostilité, et ses yeux plus de curiosité que jamais. « Vous avez dit que mon nom est Holly, c'est ça ? » La question s'adresse clairement à l'infirmière qui regagne justement son chevet. « Oui. » « Y'a pas de nom de famille avec ça ? » La jeune femme, déposant alors le verre d'eau, lance un regard à Darcy. Un regard appuyé, qu'il ne se gêne pas pour soutenir. Elle répond sans briser le contact. « C'est assez d'information pour le moment. » Elle fait clairement allusion à la discussion entretenue avec lui la veille, et sans le vouloir il sent ses phalanges s'engourdir alors qu'il appuie sa prise sur les appuis de la chaise.

Tous les jours. C'était plus fort que lui. Il s'en voulait, d'une certaine façon, mais laisser sa soeur seule dans une absence de souvenir, c'était trop dur pour l'envisager. De jour en jour, imperceptiblement, il sentait la différence. Qu'il ait une quelconque prédisposition psychique, qu'ils aient toujours un lien fraternel surnaturel ou qu'il soit simplement bon observateur, ça importait peu. De jour en jour, ça devenait pire, et il avait une terrible envie de se débattre des câlins de sa soeur, de se dégager de l'emprise formelle des dits pros de la santé. Lui, il le sentait, peu à peu, le danger, qui montait, du creux de son estomac jusque dans sa gorge. Une emprise presque totale, qui mènerait inévitablement à une catastrophe. Et lui, impuissant.
« C’est assez. Ça a assez duré. » Le regard que lui lance l’infirmière lui paraît horrible. Non parce qu’il dure à peine deux seconde, ni parce qu’elle ne s’interrompt même pas dans son rangement pour l’écouter. C’est la vide froideur qui luit dans ses yeux qui le ferait presque bouillonner. Et le silence qui suit, qui se prolonge, qui tord Darcy de force dans une attente inutile. Ou peut-être pas si vaine que ça. « Non. » Elle s’arrête enfin, et se retourne vers lui, croisant les bras. Et Darcy, lui, il serre les dents. C’est un geste vif et violent, bref, contenu, plutôt discret. Il attend quelques secondes, scrute son regard comme il fouillerait une grotte, espère presque un instant pour une suite. Et abandonne. « Ça dépasse ce que vous avez imaginé. Je vais pas rester planté là pendant que ma sœur fait la plus grosse connerie de sa vie sans le savoir. » « Faux. La plus grande connerie de sa vie, elle l’a déjà faite. Elle lui a valu une perte de mémoire. Je pense pas que vos problèmes ont d’aussi gros risques. » « Et je pense que vous pourriez être étonnée. » Elle décroise les bras et s’approche, un réflexe sous le bouillonnement presque visible de son sang. « On a déjà parlé de tout ça. Elle doit se souvenir toute seule. Vous devez garder la vérité pour vous. Peu importe vos problèmes en ce moment, les conséquences d’un retour trop brusque à la réalité seraient pire, je vous le promets. » À son tour, il sent un courant électrique qui parcourt ses veines, puissante décharge qui propulse une chaleur intense dans son cerveau. « T’as aucune idée de quoi tu parles. » Les paroles sont crachées, feulées, sifflées. D’un geste de rage brusque, il lève le bras, instinctivement. Le tutoiement semble la faire sursauter et alors qu’il baisse le bras dans un nouveau geste de frustration et de dépit mutlipliés, elle s’avance à nouveau, les yeux emplis de flammes. Trop près. Le contact se fait, mais le choc est faible. Sa main s’est ouverte à mi-chemin, son cœur a envoyé une fournée de sang froid, et plutôt que de la frapper dans leurs deux mouvements, son bras l’arrête, tout près. Elle a encore le souffle court, il le sent contre sa clavicule, et il le voit dans ses yeux. Il le voit sur ses lèvres, entrouvertes. Brusquement, il ramène son bras près de lui, enlevant sa main de son épaule, brisant le contact. Darcy, il recule, il n’arrive plus à penser au sujet de leur querelle, il dit plus rien, il sort. Dehors, l’air est froid, et ça lui fait du bien. Il reste appuyé sur le mur de chez lui jusqu’à ce qu’il entende une voix qui l’appelle d’une fenêtre. Holly. Il a juste envie de se coucher dans une machine cryogénique et de se brûler les poumons avec le froid extrême. À la place, il ouvre la porte et il se glisse dans la chaleur inquiétante de sa sœur. Torturé dans tous les sens.

BEN.

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AMBER.
merci.

Haon, j'me répète, mais Ben. to crack 1313019291

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Ben
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Ben ~~-pour faire original-~~
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Bienvenue et bon courage pour ta fiche. I love you

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LE PERSO + BEN tu as fait un excellent choix
BIENVENUE

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Ben est magnifique. to crack 3219206685

BEN
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Ouah.

@lula, vas-y, répète-toi, parce que belle comme t'es ça me dérange pas du tout.
@clary, holland est trop jolie là. merci.
@callum, merci soldat ! madden, en passant, est
@julia, t'es assez jolie pour te passer d'originalité. non, sérieux, minka quoi.
@nolan, merci.
@mila, ouf, comme ce prénom va bien à la superbe phoebe thanks.
@rose, clarke. merci !
@mia, merci la belle
@penelope, contente que tout ça te plaise, merci !
@bellis, merci beaucoup.
@leo, décidément, les hastings sont très séduisants. merciii.