Enzo * La drogue c'est comme une femme. Elle ne te pardonnera pas si tu dépasses la mesure avec elle.

**≈ messages** : 24 **≈ inscription** : 12/07/2013 **≈ âge** : 26 ans

Enzo Schiavone
Que les apparences soient belles, on ne juge que par elles
© crédits/tumblr

i. never trust or love a wild thing.

NOM ~ Schiavone. PRÉNOM ~ Enzo ÂGE ~ 24 ans. DATE ET LIEU DE NAISSANCE ~ Rome, le 17 février NATIONALITÉ ~ Italien MÉTIER ~ Banquier en pause carrière STATUT CIVIL ~ En couple STATUT MONÉTAIRE ~ Très aisé GROUPE~ Southampton

~ L’image : Je dois avoir une carte de membre dans toutes les cinémathèques de la ville, être inscrit en soirée à tous les cours traitants de photographie. L’image et son traitement m’absorbent totalement. Je pourrais des heures durant, capturer des instants de vie. Un enfant éclatant de rire, une femme en colère, un homme triste, des inconnus dont la beauté me submerge. Je suis en quête perpétuelle de beauté. N’est-il pas normal qu’il me faille l’emprisonner dans des albums puisque ma mémoire n’est pas sans faille ?

Dessin : Tout petit déjà, j’aimais dessiner. Mes doigts étaient toujours salis d’encre. Je croque tout ce que je vois lorsque je suis privé de mon appareil photo. Je crois pouvoir affirmer sans vanité que mes portraits sont souvent réussis. Lorsque j’étais plus jeune, il nous fallait récolter de l’argent pour la fête de l’école. C’était une façon comme une autre de nous apprendre la valeur de l’argent. Bref, j’ai offert mon don en service. J’étais âgé de dix ans, mais bluffai tout le monde. Mon petit commerce fit recette. Depuis, je quitte rarement mes feuilles et mes crayons.

Equitation : imaginez-vous en communion avec un animal ? Un animal si intelligent qu’il peut vous consoler ou vous amuser selon les nécessités de votre humeur… Imaginez-vous être maître d’un cheval dans une complicité sans réelle hiérarchie. … imaginez-vous avoir tant confiance en votre jument qu’il vous arrive de lui chuchoter des mots doux à l’oreille… C’est la relation que j’entretiens avec Gingerbread. Elle est ma meilleure amie. J’ai rencontré les chevaux, j’avais à peine six ans. Je ne suis jamais parvenu à me séparer d’eux. Plus jeune, je me rendais au manège pour aider les palefreniers. Je restais aux côtés des étalons arabes des heures durant à dessiner et me détendre. Monter est mon antidépresseur. Il y a de cela trois, je suppliai mon père de m’offrir un cheval. Ce que j’obtiens sans peine. Nous acheter est sa seule façon de nous aimer. Depuis, je rends visite à cette beauté chaque jour. Me passer de son contact me serait insupportable.

Sport : J’aime le sport à part la natation. Je joue au squash, au football avec Jude (depuis qu’on le regarde à la télévision. Par contre, notez que je suis nul au basket et je n’y joue donc jamais. Malheureusement, j’ai beaucoup moins de temps pour le sport que je ne le souhaiterais. Sortir, m’amuser, boire et draguer me prenait du temps. On ne peut pas tout faire. Mes journées sont courtes. L’image et Ginger sont mes priorités. Du moins était...

Et l'addiction vint : Je m'use la santé dans les substances illicites. C'est en partie pour cette raison que mon père m'a envoyé ici. Il espère que je pourrai arrêter. En réalité, je viens de sortir de cure et, ma copine et moi avons quitté mon Italie natale pour les Hamptons. On espère tous les deux que cette fois, je ne décevrai personne. Au contraire, je serais probablement condamné à vivre avec beaucoup moins de moyens. Ma copine a juré que cette fois, elle me quitterait, mon père me couperait les vivre. Alors, je fais tous les efforts du monde pour ne pas penser à cette merde dont j'ai besoin et qui me ronge à petits feux.

ii. all night long slow down the song

Assis en famille à la terrasse d'un café, un jeune adolescent aux yeux d'un vert émeraude ajoutait distraitement du sucre fin dans un jus d'orange fraîchement pressé. Ennuyé d'entendre parler finances et politique, il semblait absorbé par le bleu de ce ciel d'été ouaté de nuages d'un blanc immaculé. Il rêvait. Il rêvait à son avenir et aux trois années le séparant de son entrée à l'université. Trois ans. Encore trois ans. Bientôt, il ne serait plus obligé d'écouter les spéculations de son père sur le marché de l'acier. Bientôt, il n'aura plus à entendre les remontrances et les conseils de son étouffante mère détestant systématiquement toutes jeunes femmes qui détourneraient le regard de son enfant. Bientôt, il n'aurait plus à brider son caractère trop excessif pour faire bonne figure auprès des amis de ses parents. Il pourrait...« Enzo... » lança sa mère d'un ton neutre avant de reprendre, agacée par l'indifférence de son fils qui, visiblement, ne l'avait pas entendue. « Enzo ! Tu mets trop de sucres mon chéri. Ce n'est pas bon pour la santé et ton jus sera imbuvable... »

Qu'est ce que ça pouvait bien lui faire ? C'était sa santé non ? C'est son jus d'orange et s'il souhaite le boire excessivement sucré, tellement sucré que le goût de l'orange en serait gâché, cela reste encore son problème. Sa franchise et sa spontanéité adoucie par une diplomatie sans faille le poussèrent à offrir à sa mère un léger sourire cynique en acquiesçant :« Oh oui. Heureusement ce n'est pas toi qui vas le boire. » Il aimait sa mère, il aimait sa mère du fond du coeur, mais cela n'empêche qu'elle l'agaçait souvent. Totalement à la merci de son père, elle avait pour dure tâche de remettre son fils sur le chemin choisi par son père, se montrant sévère et revêche et ainsi éviter les remarques désobligeantes de son bourreau. Cette faiblesse irritait son fils. Pourquoi n'avait-elle pas pris ses malles quand il en était encore temps ?

Sans doute le comprendrait-il plus tard, mais aujourd'hui, adolescent, il se rebellait aux moindres mots et gardait bien cacher ses projets d'avenir. Son père rêvait sa vie en couleur, jamais Enzo ne reprendrait les rênes de la banque. Enzo était un artiste. Il serait photographe coûte que coûte. Il ferait de la photo et il étudierait la littérature internationale que cela plaise ou non. Imaginer la tête de son père lorsqu'il annoncerait son choix de vie l'amusait déjà et un sourire de courte durée se dessina sur ses lèvres alors qu'il était à nouveau absent, égaré dans ses pensées les plus intimes.

Portant la paille blanche lignée de rouge et de bleu à ses lèvres afin d'étancher sa soif, le jeune garçon faillit s'étouffer, avalant de travers, subjugué par le regard d'une jeune adulte qu'il n'avait jamais vue auparavant. Pourtant, la famille Schiavone est une habituée des lieux. « Tu vois, je t'avais dit qu'il serait trop sucré... » jubila sa mère alors qu’Enzo, toussant, se contenta de hocher la tête en fronçant les sourcils. « Monsieur, pourriez-vous remettre un jus d'orange à mon fils s'il vous plait ». En moins de temps qu’il ne fallait pour le dire, le jeune homme recevait un nouveau jus d’orange auquel il ajouta autant de sucres que précédemment, mais personne ne s’en rendait réellement compte. Ses parents étaient revenus à leur conversation initiale à des kilomètres d’un adolescent de 16 ans subjugué par cette jeune fille. Comment pouvait-elle s’appeler ? Il quitta la table et confia une tâche au serveur : Lui remettre un billet où figurait de sa fine écriture :« J’étais juste derrière toi ».

***

C’était un jeudi soir comme les autres…ou presque. Un jeune homme dans la petite vingtaine apprenait doucement mais sûrement les ficelles du métier. Au guichet, il levait et tirait inlassablement des chèques. L’illustre père de ce dernier, bonne âme inquisitrice, lui confiait contre son gré la direction d’une banque. Dès lors, comme une enfant amenée trop tôt devant l’autel par mariage arrangé, Enzo, puisque c’est le prénom du désigné volontaire, apprenait scrupuleusement son métier, endossant chaque rôle. Ne faut-il pas, pour diriger avec justesse, connaître la place de chacun dans sa société ? Peut-être ! Le futur patron n’en savait strictement rien. Il respecte à la lettre les recommandations aux allures d’obligation de son géniteur. C’est provisoire. Un jour, il décidera seul. Du moins, il l’espérait.

Blasé de réitérer encore et toujours la même manipulation informatique, le jeune homme, abandonnant son poste, se sentit l’étrange besoin de consommer du courage en poudre. C’était si rare pour l’époque. « Anna. Tu veux bien me remplacer cinq bonnes minutes » dit-il poliment. Elle accepte gentiment, le gratifiant d’un Monsieur, ce qu’il déteste profondément. Comment pourrait-il accepter que cette jeune femme, à peine plus vieille que lui, désignée par son père comme sa future secrétaire et bien plus compétente que lui, s’adresse à lui avec tant de déférence….Qui est-il pour mériter pareilles égard ? Il préférait entendre de sa bouche un tutoiement courtois qu’un vouvoiement méprisant. Il lui ordonne alors de le nommer par son prénom. Elle lui sourit gentiment et elle, elle le remplaça.

Grimpant les escaliers menant à la salle de bain de l’immeuble – salle de bain répondant parfaitement aux excentricités de son père – il sourit à son reflet pour l’ultime fois de sa misérable existence. Quelques minutes suffirent à construire son addiction….Enthousiasmé, la montée lui fut profitable. Il dévala l’escalier plein d’entrain pour apercevoir installée au bureau de sa remplaçante, une magnifique jeune femme. Elle le foudroya sur place. Au plus loin de ses souvenirs, aucune autre n’éveilla en lui pareille admiration. Aucune. Sauf peut-être celle qui était assise juste devant lui. Intrépide, il s’élança à grand pas vers son guichet, saluant la cliente et remerciant Anna pour son aide. Visiblement, cet éclatante jeune femme à l’accent traînant devait être étrangère. Elle se nommait Faustine. Faustine Delacroix. Quel délicieux prénom.

Durant tout l’entretien, il détailla chaque trait, oubliant que peut-être, il pouvait la mettre mal à l’aise. Il n’en sut jamais rien, il ne lui posera jamais la question. Manipulation trop rapide. La jeune femme quitte déjà son siège alors que milles questions se bousculent dans l’esprit altéré du jeune homme. Doit-il la laisser partir ? L’inviter à prendre un verre ? Oublier cette idée saugrenue ? Pourquoi accepterait-elle son invitation ? Et s’il ne devait jamais la revoir. Il la stoppa net d’une question franche : « Dîner avec moi ce soir » Interloquée, elle répondu : « Pardon ? »Elle n’en croyait pas ses oreilles et pour tout avouer, Enzo non plus. Il bafouille à présent. Elle n’acceptera jamais. Elle ne le connait pas. Elle sera méfiante. Il se redresse alors et s’approche à pas lent, comme entraîner par une étrange force dont il n’est pas le maître. Ses pupilles intenses captent le regard stoïque de la demoiselle. « Je n’ai aucune mauvaise intention. Je…. Enfin….vous….m’avez juste intrigué et… » Elle le ravit d’un simple signe de tête qu’elle accentua d’un « c’est d’accord ».

Ils convinrent de l’heure la mieux adaptée à leurs horaires et le soir même, ils partageaient une table, un repas et leurs idées. Faustine n’était pas seulement belle. Sa passion pour son métier valait celle de cent hommes. Il découvrait ses qualités, elle perçait ses mystères et le soir même, sa fascination se muait déjà en amour. Il voulait la revoir. Encore et toujours. Il ferait d’elle une princesse. Une princesse des temps modernes.

***
« Elle est bonne n’est ce pas ? » La jeune femme lançait un regard interrogateur à son ancien amant. Pourrait-elle obtenir ces faveurs le temps d’une nuit ? Elle n’avait jamais oublié leur unique soirée passée ensemble. Jamais. C’est vrai qu’au lendemain il convolait déjà avec une autre. Qu’importe. Il était tantôt tendre tantôt fougueux. Il était beau, il était charmant, bien élevé et surtout bon parti. Elle était restée sans nouvelle de lui quelques années durant. Ses années d’université où il s’était montré étonnement sage. Norah, elle, savait que cela ne durerait pas. La pression, il n’avait jamais supporté et il replongea. Oui ! Il replongea malgré les remontrances de ses amis et surtout, devant les supplications de celle qu’il aimait.

Enzo hocha la tête. Il n’avait rien à répondre. Seul de son corps émanait ce reniflement significatif des drogués. La tête en arrière, il sourit simplement et s’assit sur une des chaises qui s’offrait à lui. «Qu’est ce que tu trouves à cette fille ? » demanda-t-elle ondulant tel un serpent qui fonderait sur sa proie. Elle serait sienne ce soir. Elle l’espérait mais il aimait trop Faustine. Il l’aimait trop que pour la tromper charnellement. Parce qu’il n’était pas honnête. Pas totalement. Il ne lui mentait pas sur ces sentiments, il lui était totalement dévoué, il n’avait désiré une autre qu’elle….Jamais…sauf peut être la coke…. « Tout ce que je ne trouve pas chez toi, Poupée. » lui chuchota-t-il spontanément, sans aucun tact. S’il ne voulait pas la vexer : ‘c’était raté. Elle s’empourpra de colère et lui, il s’envolait. Il avait répondu spontanément, sans tact. Il ne voulait pas la vexer. Raté. Elle s’empourprait. Il s’envolait. Qu’attend-elle de lui ? « Pff pathétique. De la part d’un tox ça me touche même pas. D’ailleurs, elle doit pas être si bien que ça où elle t’aurait déjà quitté. Tu es un perdant. Un gars qui réussit parce que papa a de l’argent. » Elle m’aurait déjà quitté. Ces mots résonnaient étrangement dans sa tête. Les souvenirs d’une conversation, d’un ultimatum, d’une menace. Que ferait-il sans Faustine ? Qu’adviendrait-il de lui ? Elle était son cœur, son corps, son paradis, sa vie. « Je te quitterai Enzo. Je te quitterai si tu recommences » lui avait-elle craché au visage en pleurant toutes les larmes de son corps après sa première overdose. Norah avait-elle tort ?

Tout se mélange dans sa tête. Enzo ne parvient plus à faire la différence entre la réalité et son délire de drogué. Ou est son corps ? Ou est sa tête ? Pourquoi ça tourne ? « pourquoi j’ai envie de vomir » pense-t-il alors que Norah, cédant à la panique, se met à hurler : « Putain. il convulse. » Un autre. Un étranger, lui conseille de se calmer, de ne pas paniquer : « Il fait juste un bad trip » avait même tenté. Norah,elle, sentait bien l’arnaque arriver : « Non ! Non ! Il faut l’emmener à l’hôpital. Tu sais c’est qui ? C’est le fils Schiavone. S’il crève ici d’une overdose, on peut dire Adieu à la liberté."

***

"Nous l’avons sauvé pour cette fois Mademoiselle mais, la prochaine fois, je ne garantis pas qu’il puisse encore s’en sortir. Il est de plus en plus faible. Les prises de sang ont révélés qu’il a pris plus de coke que pourrait supporter un homme deux fois comme lui."

iii. cause we're ready for the fame.

pseudo/prénom: Medici âge: 24 ans pays: B. comment avez-vous trouvé le forum: Baz avatar: Harvey Newton-Haydon avis: Je suis sous le charme. Vraiment. autre/cassdédi: écrire ici.

Bienvenue
Je vote pour Aaron ou Garrett.

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J'ai enlevé Madden pour le coup ! Il me semblait pas l'avoir lu sur la liste mais... j'ai été tellement vite que !!!
Ben oui, moi je sais pas choisir entre les deux !
Oh, je crois que je vais prendre Garrett pour le coup, je joue souvent Aaron !!
Merci beau mâle Cool

Aaron et Garrett sont tous les deux de très bons choix. I love you

Bienvenue. cat

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Merci Lula !!
Mais, cette fois, je crois que j'ai fait le choix qui colle à mon personnage. Merci beaucoup !!

Invité

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J'aurai dis garde Harvey ou alors Hayden Enzo * La drogue c'est comme une femme. Elle ne te pardonnera pas si tu dépasses la mesure avec elle. 3219206685